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Déblocages

Avez-vous besoin d’air ?

Vous sentez-vous opprimé, frustré, mal dans votre peau et pas vraiment à votre place ?

Avez-vous l’impression de ne pas être la personne que vous devriez être ? De ne pas faire les choses que vous aimeriez faire ? De ne pas fréquenter les personnes avec qui vous vous sentiriez vraiment à l’aise ?


Pour faire simple, comment vous sentez-vous ?

COMMENT ÇA VA ?


Derrière cette question « Comment ça va ? », devenue tellement banale que l’on n’y prête plus vraiment attention, se cache pourtant la vraie source d’énergie à pouvoir vivre pleinement sa propre vie : le bonheur.


Quand ce bonheur n’est pas ressenti pleinement au fond des tripes, lorsqu’il tend à se manifester d’abord par intermittence puis de moins en moins souvent, la vie peut rapidement nous apparaître comme une longue série d’obstacles tous plus difficiles les uns que les autres, et devenir ainsi une source de frustrations de plus en plus douloureuse.

C’est le début de la dépression, consciente ou pas, et donc le début d’une spirale infernale qui remplace peu à peu les différentes motivations que l’on pourrait se trouver, en une difficulté d’abord à éprouver du plaisir, puis en l’incapacité de plus en plus fréquente à éprouver toute forme de désir de manière générale.


En gaspillant son énergie à se battre contre des événements qui ne sont qu’obstacles, malgré toute la ténacité dont on peut faire preuve, on finit par s’habituer à ce que la vie ne devienne qu’une épreuve, et à ce que le bonheur devienne une espèce de bonus auquel l’on ne peut pas toujours avoir accès.

On perd l’impression d’être l’acteur de sa propre vie, on s’habitue à subir les choses, et pire encore, on finit par trouver ça parfaitement normal. On s’éloigne des autres et on se sent seul. On se morfond et on souffre. On suffoque et on finit irrémédiablement par s’éteindre, devant le constat amer que la réussite n’est sans doute qu’une question de chance, de relations et d’argent, ou bien encore de diplômes que l’on n’a pas, de compétences que l’on n’aura jamais, ou d’un tempérament dont on n’a jamais été pourvu.


La seule façon de s’extraire de ce cercle vicieux de la lassitude qui engendre la baisse de volonté et de la baisse de volonté qui engendre encore plus de lassitude, c’est de prendre conscience que la façon dont on perçoit le monde interagit directement avec le monde extérieur lui-même.


Par exemple, prenons le cas d’une personne mal dans sa peau, qui ne se sent pas intégrée avec les autres. On lui fait une remarque sur sa tenue vestimentaire : « Ah ? Tu t’es habillée comme ça, aujourd’hui ? » Cette question, posée sur un ton parfaitement neutre, sera pourtant immédiatement perçue comme une agression. La personne va donc y répondre sur la défensive, et engendrer des réactions sur le même ton. Alors que la même question posée à une personne parfaitement bien dans sa peau débouchera plutôt sur des échanges plaisants avec même quelques éclats de rire…


Dans un autre registre, je pense au matériel informatique. Tous ceux qui travaillent dans un bureau conviendront que lorsque vous travaillez avec du matériel informatique, si vous devez absolument rendre un dossier urgent dans les délais, vous pouvez être certain que rien ne va se dérouler correctement. D’abord, votre logiciel plante. Cela n’arrive jamais. Mais là, ce n’est pas le moment. Donc, il plante. Vous rouvrez votre fichier, et zut, la sauvegarde n’a pas fonctionné correctement. Coup d’œil à la montre. Allez, encore un peu de pression, on refait ce qui manque, on va y arriver, il n’y a pas de raison… Et là, vos doigts s’emmêlent, vous ne savez pas sur quelles touches vous avez appuyé simultanément, mais l’ordinateur n’a pas du tout aimé. Plantage total du système. Redémarrer. Prévenir les collègues aussi que ce n’est pas le moment de squatter l’imprimante. Et la secrétaire aussi. Pas le moment non plus de passer les coups de fil. Mais vous ne pouvez pas la joindre. Cette dinde est encore en ligne. Ce n’est pas possible… Mais qu’est-ce qu’elle fait toujours en ligne ?! « Et toi, le stagiaire, descend vite lui dire que je ne veux aucun coup de fil ! » C’est pratique, les stagiaires. C’est d’autant plus pratique que l’heure tourne et le dossier doit absolument partir au courrier dans moins de vingt minutes. C’est à quelle heure, la dernière levée ? Si on dépose au centre du tri, on bénéficie de combien de temps supplémentaire ? Allez, cette fois-ci, tout est bon. Impressions. Première feuille. On vérifie. Oh putain ! Le réglage des plumes n’est pas le bon. Tous les dessins du dossier ne sortent pas avec la bonne résolution. Vite. On rectifie. Ok, tout est bon. On envoie. Bingo ! Un vilain bruit de carrosserie froissée coupe court à tout l’enthousiasme. Oh non… Un bourrage ! Ouvrir le capot du dessus. Non, ça ne suffit pas. Ouvrir le capot arrière. Ça clignote dans tous les sens. Retirer la feuille. Fermer le capot. Pas besoin de technicien, ouf. On relance. Scratch. Re-bourrage ! (Vous la sentez, la pression ?) Un collègue qui a pitié de vous (ou qui craint le pétage de plomb) vous vient en aide. Remarquez que lorsqu’il s’agit d’un autre intervenant que soi-même, on a toujours l’impression que c’est extrêmement long… S’arracher les cheveux, se bouffer les ongles, se mordre l’intérieur des joues, piquer une bonne suée… Ah ! Enfin ! Ce con a quand même des doigts de fée, ou alors une dextérité de chirurgienne : il est parvenu à extraire cette petite boulette de papier toute imbibée d’encre noire et qui posait problème. Vous pouvez relancer les impressions maudites. Mais ce serait trop facile. Le rouleau est tout dégueulasse et vous laisse des traces sur tous les documents. Nettoyage des têtes d’impression… et réimpressions. C’est mieux. Sauf que maintenant, il n’y a plus d’encre. Changer les cartouches. Comment ça, on n’a plus de cartouche bleue ? C’est une blague ? Il est où, le responsable informatique ? Ah oui, c’était une blague. Elle se croit marrante, en plus, celle-là… Pff. Je vous jure… Allez, on relance tout. (Remarquez que j’en ai déjà rencontrés qui auraient déjà massacré l’imprimante pour moins que ça !) Vite. Où est l’agrafeuse ? PUTAIN ! OÙ EST CETTE AGRAFEUSE ?!


Bref, j'ai eu une vie de salarié, moi aussi ;-)

J’arrête ici le sketch (il faut que j'en garde pour la saison 2 de Ma vie est un sketch).

Mais entre nous, hormis le fait que le monde du travail semble particulièrement adapté à nous mettre en état de stress total, reconnaissez que le stress que l’on éprouve à l’intérieur de soi provoque toujours de nouvelles réactions stressantes à l’extérieur, pas vrai ?


Ce constat m’amène à une question vraiment toute simple :


Si le monde extérieur ne m’apporte pas

le bonheur dont j’ai besoin,

est-ce que je ne suis pas moi-même

le véritable obstacle

à mon propre bonheur ?


En se posant cette question, on touche du doigt les blocages inconscients de la réussite : ceux qui ne se voient pas, mais qui n’en demeurent pas moins puissants, ceux que l’on sous-estime, et qu’il est grand temps de prendre en considération.


Votre vie actuelle vous étouffe ? Vous avez besoin d’air ? Besoin d’intimité ? Besoin de vous exprimer, besoin d’être vous, de vous faire entendre, de converser avec des personnes qui soient capables de vous comprendre ? Vous avez besoin de donner du sens à ce que vous faites, de contribuer à donner de la valeur ajoutée ? Vous avez besoin de progresser, d’apprendre de nouvelles compétences, de vous sentir apprécié, reconnu, de vous sentir à la bonne place ? Vous en avez marre de voir la vie en noir, marre d’être pessimiste, d’être victime de vos peurs, de vos angoisses et de manquer comme ça de confiance en vous ? Marre aussi de subir les événements, de toujours suivre les choix des autres, de ne jamais rien décider, de ne pas savoir prendre les choses en main, de toujours être la personne qui s’efface et qui obéit aux autres ? Vous voudriez changer cette « vie de con » en une vie meilleure, dans laquelle on n’achète plus votre soumission avec un salaire de misère, et où vous prenez enfin en main les rêves qui sont les vôtres ?


Pour réussir dans la vie, il faut viser la liberté et le bonheur. Trouver soi-même ce qui correspond le plus à ces notions de liberté et de bonheur. Apprendre à s’écouter, à penser différemment et à savoir précisément ce dont on a besoin. Remettre en question tout ce qui nous a été inculqué. Remettre en question les choix que nous avons faits dans le passé, aussi. S’autoriser le droit de s’être trompé. Ne pas se juger. Se pardonner, s’aimer, se respecter. Être conscient de ses défauts, mais aussi de ses qualités. Savoir faire table rase. Repartir sur de bonnes bases. Ne pas culpabiliser. Par rapport à personne. Ne pas s’auto-saboter.

S’autoriser le droit au bonheur.

Ne plus être le pantin de ses émotions, mais devenir l’acteur conscient de sa propre vie.


Le but de ce numéro 2 de La Revie Joyeuse est de faire en sorte que les blocages inconscients qui sont le nid de nos échecs… deviennent enfin les déblocages conscients de nos futures réussites.


Vous voulez une vie meilleure ?

Le vrai secret des gens heureux, c’est d’avoir su comprendre qui ils étaient.


NE LAISSEZ PAS LE HASARD

PRENDRE EN MAIN

VOTRE PROPRE BONHEUR :

MISEZ SUR VOUS !



Charlie Bregman, le 22 septembre 2014. La Revie joyeuse vous intéresse ? ABONNEZ-VOUS !

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